Si vous me permettez d'enfoncer des portes vitrées ouvertes, j'aimerais affirmer que nous vivons dans une société de l'éphémère. L'information périme sitôt qu'elle paraît, et là où l'on avait jadis des tubes de l'été, on n'a désormais plus que le meme du jour. Et même si le tube est meme, il titube sous le poids …
