Dans un monde où, à la place du bonhomme grisonnant lui servant habituellement d'arrière-plan pour ses seflies, Gendou Ikari avait eu comme bras droit Jacques Séguéla, peut-être aurait-il déclaré ceci : « l'humanité, c'est comme de l'Orangina, faut bien la secouer sinon la pulpe reste au fond (et à la fin ça ressemble à un liquide orange …
